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Pink Screens

Pour la 16e année consécutive, Genres d’à côté asbl est fière de vous présenter le PINK SCREENS FILM FESTIVAL, le festival du film queer de Bruxelles qui célèbre les genres et sexualités différentes. Une nouvelle édition qui offre, une fois encore, une sélection forte et délicieuse de près de 70 courts et longs-métrages - fictions, documentaires et expérimentaux. De quoi vibrer dans nos quartiers généraux du NOVA ainsi qu’aux cinémas Aventure et Galeries.

Cette année, familiarisez-vous avec l’emploi du pronom neutre, interrogez votre notion de "solidarité", bouleversez les cases établies des amours jeunes et surtout moins jeunes, succombez au polyamour à moins que ce ne soit à celui d’être tout simplement nu·e (focus "Get naked ? Oh My God !").

Partez à la rencontre d’âmes révolutionnaires, d’objets amoureux et de garçons-filles sauvages. Accompagnez une reine guerrière ou une amazone au lasso devenue culte, à moins que ce ne soit une fière et très cuir icône gay. Bref, partagez des tranches de vie totalement queer. Et puis n’oubliez pas de vous rebrancher sur le Queercore pour une bonne baffe musicale, visuelle et politique, et combler, qui sait, de possibles lacunes culturelles voire historiques (focus "Queercore").

Pink Screens, c’est bien plus qu’un programme papier. Ce sont 10 jours de films, d’expositions, de débats, de questionnements hors-cadres, de surprises et de fêtes, de rencontres aussi, sans oublier l’hommage annuel à la scène musicale queer – aka la Pink Night (le 18/11 sur les 2 étages de la Bodega).

Et en décembre, le festival se prolongera à la Cinematek avec une quinzaine de films autour de la thématique "120 battements et plus : le sida à l’écran".



PRÉVENTES à la RAINBOWHOUSE

  • Rue du Marché au Charbon 42, 1000 Bruxelles
    Les 2, 3, 4, 6, 7, 8, 9 novembre de 16:00 à 18:30
    Et au Nova pendant la période du festival (une demi-heure avant la première séance)

ATTENTION : pas de réservation par téléphone ou en ligne !

PINK PASS
6 séances à choisir, pour 30€ ! En vente pendant le festival.

BAR NOVA
De la première à la dernière séance, pendant toute la durée du festival, Le bar du Nova est ouvert avec chaque soir, une table d’hôte et des DJs pour la touche musicale.

INFOS
Pour toute information et changement de programme :
www.pinkscreens.org / www.gdac.org / info@gdac.org
T : +32 474 37 50 53 (11:00 – 18:00)



Diana Blok est une photographe uruguayenne vivant à Amsterdam qui, à travers son art, exprime ses diverses expériences de culture et d’identité. Avec "Eu te Desafio a me Amar" ("Je te défie de m’aimer"), elle dénonce le niveau de plus en plus élevé des violences et discriminations subies par les LGBTQ+ dans le Brésil contemporain.

Gurshad Shaheman est comédien, Français d’origine iranienne, vivant à Bruxelles. A côté de son travail théâtral, il fait des collages autour la fluidité des genres. Avec sa série PUSSY PUNCH, il nous fait voir neuf oeuvres très puissantes. “Every man needs a pussy. I just gave this men what they needed."

Rose Butch est une artiste peintre bruxelloise, une artisane et une militante aux inspirations tantôt kitsch, tantôt trash et jamais sages. Elle s’intéresse aux convergences des luttes anti-racistes et décoloniales, féministes, anti-capitalistes, anti-grossophobie, queer… A travers ses toiles et ses travaux d’aiguilles, elle aborde frontalement les violences sexistes, LGBTphobes et racistes et elle crée des représentations de et avec des personnes généralement rendues invisibles ou caricaturées.

09.11 > 18:00


Dans les années 80 naissait le Queercore, une bonne baffe à un milieu gay-lesbien conformiste en quête de respectabilité et une explosion queer à la face du punk hétéronormé. « Queercore : how to punk a revolution » convoque plein de beau monde pour en retracer l’émergence et mesurer l’impact de ce cousin des Riot Grrrls, avec ses zines, concerts, groupes, films... Nous en suivrons les ramifications jusqu’aujourd’hui. Et nous vous avons même déniché des films de G.B. Jones, une des initiatrices de ce mouvement avec son complice d’alors, le jeune Bruce LaBruce.



Que cachent les haies bien taillées de nos jardins ? Et qui s’installe en bordure de nos bois et au beau milieu de nos prés ? OMG ! Des gens dénudés ! Simplement Oh My God !!! Des corps sans vêtements qui font trembler les cadres auxquels nous sommes habitué·e-s, les convenances dans lesquelles nous baignons et qui ouvrent peut-être des possibilités jusque-là non envisagées. Attention, le voisinage de « Los Decentes », « Hugues » ou l’héroïne de « Blind Sex » (séance « Stronger than you » ) risquent de vous entraîner sur une séduisante pente libératrice…



L’actualité met en avant la situation des personnes réfugiées ou demandeuses d’asile. Des solidarités sont-elles possibles entre LGBTQI, particulièrement avec les LGBTQI en demande d’asile ou migrant·es ? Sur quelles bases ? Ou doit-on jeter l’idée de "solidarités" face à une indifférence quasi généralisée ? D’ailleurs, si une grande partie des LGBTQI sont indifférent·es au sort et aux discriminations que vivent d’autres LGBTQI, peut-on vraiment parler de "communauté" ? A moins que la notion de solidarités ne soit simplement d’un autre âge. Y aurait-il un clash de générations où les plus jeunes auraient perdu un certain "sens du combat" ? Peut-être à mettre en lien avec ce que disait Robin Campillo en marge de son film consacré à Act-up : les luttes d’aujourd’hui peuvent-elles encore être le reflet du "corps incarné" ? Que penser d’élans comme la récente mobilisation en soutien aux homosexuels tchétchènes : solidarité réussie ou ratée ? Et quand notre Pride 2017 même avec le slogan "Crossing Borders" accueille en ses rangs un parti nationaliste : une contradiction exemplaire du militantisme LGBTQI contemporain ? Une gueulante, c’est un café-débat libre et démocratique. Un sujet est lancé, et c’est ensuite les participant·es qui ont la parole. Une personne est simplement là pour faciliter sa circulation. C’est donc vous, avec vos opinions, votre mauvaise foi et votre sensibilité qui faites le débat... dans le respect et la bonne humeur !

11.11 > 17:00
Gratis


La Microboutiek, madame, est un point de diffusion de livres, CD, fanzines, DVD, K7 et autres objets de micro-édition. Vous pouvez autant y découvrir des choses rares que venir y déposer vos créations, la Microboutiek est alimentée par son propre public.
N’hésitez pas !

11.11 > 18:00


09.11 > 18:30 + 10.11 > 18:30 + 11.11 > 18:30 + 12.11 > 18:30 + 13.11 > 18:30 + 14.11 > 18:30 + 15.11 > 18:30 + 16.11 > 18:30 + 17.11 > 18:30 + 18.11 > 18:30


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